Dans le cadre de ce projet, l’équipe a développé une approche innovante permettant d’informer les décisions des acteurs infranationaux dans la réalisation de l’objectif adopté lors de la COP15, protéger 30 % des zones terrestres, aquatiques et marines d'ici 2030, et de fournir des pistes de réflexion aux gouvernements du Québec et de la Californie

La nation innue d’Essipit a démontré son leadership en annonçant plus tôt cette année son ambitieux projet d’aire protégée et d’habitats connectés, Essipiunnu-meshkanau. Cette annonce s’inscrit dans une vaste démarche entreprise par la nation pour mieux protéger et aménager son Nitassinan (son territoire ancestral), afin de restaurer et conserver des habitats de qualité pour les espèces locales et ultimement maintenir l’innu-aitun (les activités traditionnelles et les savoirs des Essipiunnuat).

Notre étude réalisée pour la Ville de Nicolet révèle que planifier la constitution d’un « corridor vert » contribue à la conservation de la biodiversité au sein de la région des Basses-Terres du Saint-Laurent.

La municipalité de Saint-Hippolyte a mandaté Habitat à réaliser une étude afin d’estimer la valeur actuelle des milieux naturels en se basant sur une évaluation biophysique et économique de plusieurs services écosystémiques.

À travers ce projet, Habitat a mené une étude sur la faisabilité d’outils d’écofiscalité appliqué sur l’empreinte écologique de l’occupation du sol.

Les résultats de notre étude vont permettre de maintenir et d’améliorer la connectivité écologique pour soutenir la biodiversité, favoriser la résilience et continuer à bénéficier des services écosystémiques.

Le projet Demain la forêt - infrastructures vertes, lancé par le Jour de la Terre et soutenu par le Gouvernement du Québec, vise à aménager les milieux agricoles en friche où les pentes sont trop fortes pour être cultivées.

Notre étude réalisée pour la MRC Nicolet-Yamaska a permis d’identifier les milieux naturels d’importance pour le soutien de la biodiversité, les services écosystémiques et le maintien de la connectivité.

Notre équipe a étudié la mise en place de solutions nature pour s’adapter aux changements climatiques et lutter contre la perte de biodiversité sur le territoire de 11 municipalités et MRC québécoises.

Nous avons développé une stratégie de plantation des 500 000 nouveaux arbres qui maximisera la pérennité de la forêt urbaine tout en améliorant la répartition de la nature en ville.

Notre équipe a évalué les bénéfices associés à la végétalisation des coulées agricoles pour la faune (habitat et connectivité) et l’approvisionnement en services écosystémiques.

Notre analyse de la forêt urbaine de Rosemère (portrait, services écosystémique, diversité fonctionnelle) a permis d’élaborer des recommandations de plantation qui répondront aux objectifs de conservation.

Nous avons analysé les services écosystémiques rendus par les milieux naturels de la zone de gestion intégrée de l’eau gérée par Abrinord afin de prioriser les actions de conservation.

Notre équipe a évalue le rôle des arbres du parc Jean-Drapeau dans la séquestration de carbone, l’amélioration de la qualité de l’air et l’évitement des eaux de ruissellement.

En 2021, Nature-Action Québec a mandaté Habitat pour réaliser l’évaluation de la forêt urbaine de la Ville de Candiac dans une perspective d’amélioration de sa résilience face aux changements globaux.

Notre analyse de divers scénarios de conservation a permis d’identifier celui qui aura le plus impact positif sur la biodiversité, la connectivité et l’apport en services écosystémiques.

Notre étude sur le rôle des milieux naturels dans la prévention des inondations et d’autres services écosystémiques a permit de mettre en lumière les valeurs économiques associées à ces services.